Synopsis En novembre 2001, le peintre québécois Edmund Alleyn (1931-2004) accepte de se laisser filmer dans son atelier par sa fille, la cinéaste Jennifer Alleyn. Quelque chose d'inespéré se produit : une authentique rencontre, sans détour, sans masque. Décédé en 2004, le film tente de prolonger malgré tout le dialogue amorcé avec ce grand artiste. Prix de la meilleure oeuvre canadienne au Festival International du Film sur l’Art — 2008. Précédé de La Vie imaginée de Jacques Monory de la même réalisatrice, 24 m, 2005